Le + : la contextualisation historique des besoins actuels d’expression
L’auteur utilise
* Avant 1945 - Besoins physiologiques - Qualité des produits
* Guerre Froide - Besoin d’appartenance - Marques, stars, symboles
* Mondialisation - Besoins de reconnaissance – Expérimentation, expression de valeurs personnelles
Le - : aucune délimitation du concept de « participation », d’où un optimisme exagéré
La « participation » recouvre dans l’ouvrage des concepts très différents : parfois réelle démarche horizontale et partage, parfois collaboration ponctuelle, parfois simple feedback ou possibilité d’expression. (Parmi les multiples exemples, l’auteur cite aussi bien les pays qui participent aux débats à l’ONU… et les téléspectateurs qui participent à Vidéogag en envoyant leur vidéos).
Si l’ouvrage détecte des dimensions participatives dans différents domaines (sciences, technologies, consommation, politique), leur réalité et leur efficacité n’y est pas évaluée.
[La « participation », quand elle est ponctuelle, superficielle, dirigée, pourrait très bien être une infantilisation marketing, comme semblent le suggérer les pions figurés sur la couverture du livre.]
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