Alors qu'il remplissait une notice unimarc, le bibliothécaire zen remarqua : « Ca existe. Ca n'existe pas ».
Le bibliothécaire zen cherchait rien sur Google, il obtint 27,987,384 réponses.
Le bibliothécaire zen se demanda : si le web est partout, pourquoi tapes-tu des mains ?
Un lecteur demanda un livre de Danielle Steel au bibliothécaire zen. Celui-ci lui donna un bol de sable ; le lecteur parti avec, désorienté. « Ce lecteur vient de commencer un long chemin », commenta le bibliothécaire zen. Un assistant déclara au bibliothécaire zen qu'un client avait besoin d'aide. Le bibliothécaire zen répondit : « Comment osez-vous appeler un usager, client ? ». Le lendemain, l'assistant lui déclara qu'un usager avait besoin d'aide. Le bibliothécaire zen lui répondit : « Comment osez vous appeler un client, usager ? ».
Un usager demanda au service de référence : « Savez-vous combien est-ce qu'il me reste d'ibuprofens dans mon armoire à pharmacie ? ». Le bibliothécaire zen fut illuminé.
Le bibliothécaire zen déclara à un lecteur : « Si vous ramenez ce livre après sa date de retour, vous aurez une amende. Si vous ne ramenez pas ce livre après sa date de retour, vous aurez une amende. » L'usager fut illuminé.
Le bibliothécaire zen remarqua : « Travailler à la bibliothèque sans s'attacher aux livres ni aux mots qu'ils contiennent, telle est la juste voie».
Traduit du site : http://www.laughinglibrarian.com/koans.htm
4 commentaires:
Très drôle. Les bibliothécaires seraient-ils des maîtres zen sans le savoir, comme Monsieur Jourdain, un prosateur ? Nicolas
Ou disons que nous sommes souvent soumis à des exigences contradictoires. Ce qui nous rend sages ou confus.
c'est beau, on dirait du dbourrion !
Great ppost thanks
Enregistrer un commentaire